La flamme olympique très attendue à Marseille

Paris 2024 : La flamme olympique sera accueillie par 150 000 personnes à Marseille
Le 8 mai prochain, lors de son arrivée, à bord du Belem, la flamme olympique sera accueillie par 150 000 personnes, du côté de Marseille.

La flamme olympique est très attendue. Ce mardi, elle a été officiellement allumée, à l’occasion d’une cérémonie traditionnelle, du côté d’Olympie en Grèce. Pendant onze jours, elle va parcourir pas moins de 5 000 km en Grèce. Avant d’embarquer, le vendredi 26 avril prochain, au port du Pirée, au sud d’Athènes, pour rejoindre la France, à bord du navire Belem, pour une traversée d’une durée de douze jours. Ensuite, il faudra patienter jusqu’au mercredi 8 mai prochain pour voir cette flamme arriver en France.

Cette arrivée se fera du côté du Vieux-Port à Marseille. Lors d’une conférence de presse organisée pour présenter cette fameuse journée du 8 mai, Samia Ghali, adjointe au maire de Marseille, a notamment déclaré, dans des propos rapportés par l’AFP : « La flamme va entrer en France par la ville grecque, Massalia. Avec cette arrivée sur le Belem, il va y avoir des images exceptionnelles et mémorables. »

Le nom du premier relayeur en France n’est pas connu

Avant d’entrer dans le Vieux-Port, le Belem suivra tout un parcours, pour parader. Une parade qui se déroulera dans toute la rade de Marseille, des Goudes au Sud, jusqu’à l’Estaque au Nord. Ce trois-mâts sera alors bien loin d’être seul, dans la mesure où pas moins de 1 024 bateaux l’accompagneront. Pendant toute cette journée, que ce soit en mer mais également sur terre, de nombreuses animations auront également lieu.

Ce n’est qu’à 19h00 que le Belem fera son entrée dans le Vieux-Port, au son des feux d’artifice, de la musique de l’orchestre de l’Opéra de Marseille et entouré de « tifos » de groupes de supporters de l’Olympique de Marseille. A cette occasion, selon les organisateurs, environ 150 000 personnes sont attendues, pour voir ce trois-mâts accoster avec cette flamme. Une fois amarré, il laissera la flamme reprendre son relais, avec un premier relayeur sur le sol français dont le nom n’a pas encore été dévoilé.

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