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Barcelone/PSG - Le groupe parisien : Mukiele de retour

Autour du PSG

Barcelone/PSG – Top 10 de ce que l’on ne veut pas voir

Les 10 bonnes raisons de suivre un match (avec quelques adaptations parfois), sont devenues une habitude sur le site. Pour ce Paris Saint-Germain contre le FC Barcelone au Stade Montjuïc dans le cadre des quarts de finale retours (défaite 2-3 à l’aller) de la Ligue des Champions 2023-2024 (coup d’envoi 21h, diffusion Barcelone/PSG sur Canal+ et RMC Sport) on étoffe avec les 10 choses que l’on ne veut pas voir dans ce match clef pour la saison parisienne.

10. Donnarumma qui perd des duels aériens

Donnarumma, 1m96, paraît tout petit quand il s’agit d’intervenir dans les airs, dans sa surface de réparation. On ne veut plus voir le PSG prendre de buts de la sorte, surtout avec un gardien aussi grand. Il doit s’imposer, éloigner le ballon le plus loin possible du but. Dans les airs, il doit prendre le dessus.

9. Hakimi qui ne cherche à jouer « que » vers Mbappé

Hakimi court pour 2, il est fort techniquement et physiquement, c’est un monstre qui ne s’arrête jamais. Il a une grosse frappe de balle, il est bon centreur, mais au PSG, il cherche exclusivement Mbappé, au détriment du respect du jeu parfois. On aimerait le voir plus altruiste avec les autres et moins dépendant de son ami.

8. Un charnière centrale qui perd ses duels

A Paris, on a l’impression que les duels défensifs sont faits à basse intensité, pendant que l’adversaire joue le coup à fond. Cela rend les choses très spectaculaires. L’adversaire parait « facile » quand les joueurs Parisiens apparaissent comme « perdus ». Ils doivent avoir une mission, protéger leur but avec la plus grande attention.

7. Un milieu qui ne prend pas assez de risques

Souvent, le milieu parisien ne prend pas assez de risques. Les joueurs ont trop peur de faire une erreur, alors ils décident de ne pas jouer le jeu, de ne pas tenter la passe clef en profondeur, de ne pas tenter la passe qui casse une ligne. Cela devient lisible pour l’adversaire qui sait par avance, que les parisiens ne vont pas tenter de choses trop complexes et par conséquent, cela favorise clairement leur jeu défensif.

6. Aucun Parisien dans la surface adverse

Combien de fois, on a vu Mbappé, Dembélé ou autre prendre le ballon arrêté au milieu, tenter d’accélérer, mais que personne ne va dans la surface de réparation ? Cela arrive à chaque match. Pour l’adversaire, c’est facile de défendre, il n’y a pas de variété dans les actions. Il faut utiliser toutes les armes et l’appel en profondeur, la présence dans la surface, sortir de sa zone sont importantes pour être plus imprévisible.

Quand on regarde Mbappé, il demande souvent le ballon arrêté dans les pieds, il tente de gagner un duel contre plusieurs défenseurs. Il faut des joueurs dans la surface, pour reprendre des centres, pour attirer des défenseurs.

5. Un joueur qui ne se replace pas

À ce niveau de la LDC, c’est insupportable de voir un joueur sortir du jeu à cause d’un replacement en dilettante. Un joueur qui reste hors-jeu à cause d’un mauvais replacement est un joueur qui ne sert à rien dans l’action collective potentielle. Chaque joueur doit être prêt à recevoir le ballon, à faire un appel. Pour cela, il faut de l’intensité, même dans le repli ou le repositionnement.

4. Le PSG qui repart avec des regrets

Combien de fois a-t-on dit ? « S’il n’y a pas le poteau, c’est un tout autre match ». « Avant le premier but de l’adversaire, Paris faisait un bon match » etc… Ce PSG vit avec des regrets, depuis des années, et ce n’est plus possible. Perdre fait partie du sport, mais perdre comme le fait le PSG, sans combattre à haute intensité, cela n’est plus possible. Il faut vraiment aller à Barcelone dans l’idée de tout renverser et surtout, il faut que cela se voit sur le terrain.

3. Dembélé qui a besoin de 25 tirs pour marquer 1 but

Un grand club doit réussir à avoir des joueurs de qualité. Dembélé en est un. Mais au plus haut niveau, il faut plus que cela, il faut faire des bons choix, marquer des buts, sauver des buts etc… Dembélé doit trouver un minimum d’efficacité. Ce ne sera jamais Haaland, mais la moindre des choses serait de cadre plus de tirs et d’en convertir davantage.

2. Trop d’erreurs

Ne pas aller presser sur un tireur adverse, laisser libre des joueurs, se trouer au milieu et laisser des trous derrière soi, relancer d’une mauvaise passe dans l’axe, se faire lober sur un centre, voilà la panoplie parisienne quand les choses sérieuses commencent. Il faut arrêter tout cela. Les joueurs sont des internationaux, ils savent comment minimiser les risques défensifs. On veut des guerriers et de la concentration.

1. Des trous d’air trop importants

La constance est importante, le PSG ne l’est pas. On n’a pas encore vu de vrais grands matchs pleins du début à la fin. C’est le challenge, on souhaite débriefer un match qui ne laissera pas un goût amer. Les joueurs doivent se sublimer et tout faire pour contrer ce qu’on dit d’eux. En Ligue 1, jouer à 60 % ça passe, en Ligue des Champions, c’est bien évidemment trop compliqué. On ne veut pas voir une équipe qui joue 15 minutes au début de chaque mi-temps.

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