Benjamin Bourigeaud : « C’est la première fois que je traversais une période si compliquée sur le plan psychologique »
Dans un entretien accordé à Ouest-France, Benjamin Bourigeaud a évoqué la dure saison du Stade rennais, et sa saison compliquée à titre individuel.
« Je n’ai pas de filtre pour analyser mes performances, je suis objectif sur moi-même, parce que je suis quelqu’un qui se donne dur au quotidien », confie Bourigeaud dans un entretien à Ouest-France. « Dans une carrière, il y a des phases qui sont parfois plus difficiles que d’autres. C’est la première fois que je traversais une période si compliquée sur le plan psychologique. Il y a eu des moments difficiles. Mais je n’ai jamais abandonné. Et puis, ce qui fait aussi mes stats, malgré les difficultés, c’est que je me donne pour le collectif. »
Et le numéro 14 de poursuivre. « Mes performances sont peut-être parfois moins belles, je suis peut-être moins influent, mais je n’abandonne pas, et je continue de donner le maximum, même si les gens peuvent avoir des regrets sur mes performances. Tout ce que je veux, c’est ne pas donner de regrets par rapport à mon investissement. Aujourd’hui, je remonte la pente, et je pense que les statistiques me font un bien fou à ce niveau-là ».
Crise de larmes. Une certaine tendance à se dévaloriser : on est des cons, des Imbeciles, des abrutis. Bon moi chui pas psychiatre mais il nous fait peut-être une petite dépression là Benjamin. Ou une crise de la quarantaine ? À même pas 30 ans, vous croyez ? Un léger beurnaoute alors. Voilà, ça doit être ça. L’important dans ces cas là c’est d’être bien entouré. Et avec des collègues de taf comme les très souriants Ludo et Amine ou le toujours très professionnel Warmed y’a vraiment tout ce qu’il faut pour que Bourige remonte la pente. Ou une boîte d’exomil, oui, aussi.
À moins que le mal être de Bourigeaud ne remonte au tout début de la saison où, sans filtre comme il dit, il avouait que la camaraderie au sein du vestiaire n’était pas aussi saine et sereine que par le passé. En gros y peuve pas trop se blairer. Et ça Benji, ça lui fait beaucoup de peine. Et y chiale. Exactement comme nous en se remémorant les performances d’Omari. Et les deux mercatos ratés par Flo-Mo. Il est grand temps en effet de tirer les larmes.
Arrêtons de recruté des joueurs chez nos voisins de ligue 1